
Théodule Ribot, l’un des plus puissants peintres du XIXe siècle
Soleil noir du caravagisme Nous sommes en 1884, à l’hôtel Continental, à Paris. Divers orateurs se succèdent lors d’un grand banquet. Un dernier homme se lève avec difficulté. Il est ému. « Je bois à l’art ! bredouille-t-il. À l’art que j’aime ! À l’art de nos maîtres ! À l’art de Millet, de Corot, de Daubigny, de Courbet ! »